Jouez 1 thème et 1 contre-chant !

Régulièrement, nous vous proposons de déchiffrer puis de jouer les lignes de basse extraites de l’album du Big Bass Band. Ce mois-ci, je vous invite à travailler un thème, un contre-chant et la ligne de basse qui, vous le verrez, s’inscrit dans toute cette thématique. Le titre du morceau : Basse Pression.


Une intention...

Le contre-chant est exposé seul et en premier car le thème, lui, l’a déjà été plus haut dans le morceau.

Mais ce qui nous intéresse ici c’est la réapparition de ce dernier qui vient compléter la thématique.

Notez que la basse, elle, présente du début à la fin, s’inscrit comme si elle posait une question et le contre-chant lui répond. C’est ainsi qu’elle participe largement à l’élaboration du thème.

Cette notion de "question-réponse" est assez présente dans les compositions du Big Bass Band. C’est l’un des intérêts majeurs de l’écriture dans ce projet.

Observez également que je n’ai noté qu’une seule basse sur la partition alors qu’une seconde joue la même partie à l’octave supérieure. On retrouve ici cette volonté que nous avons dans le BBB de faire jouer 2 basses réelles au détriment de l’utilisation d’un octaver par exemple.

La partition complète de l’extrait à télécharger en bas de la page !

Basse Pression (extrait)

Techniquement...

Vous constaterez que le mouvement de la ligne aurait mérité que la partition fût écrite en 6/8. J’ai privilégié la mesure en 4/4 tout simplement pour mettre en exergue le travail des triolets de croches grâce auxquels la compréhension de ce balancement se fait plus aisément.

Une méthode...

Parue aux éditions Play-Music Publishing, cette méthode traite du sujet qui nous concerne très directement, c’est à dire les arrangements pour basses. Elle est à l’origine de la création du Big Bass Band !

Petits arrangements entre bassistes - Frank Nelson
Pour accéder au site, cliquez sur l’image !

Avant de télécharger gratuitement la partition complète de l’extrait, veuillez remplir le formulaire ci-dessous !




Et si vous voulez qu’on en discute, c’est en dessous que ça se basse !






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